Lancement du sondage sur le marché des arts du gouvernement du Canada

Le gouvernement du Canada entame un dialogue avec les parties prenantes et les groupes autochtones sur la mise en œuvre d'un droit de suite pour les artistes au Canada. Un droit de suite pour les artistes est un droit légal qui pourrait permettre aux artistes visuels et à leurs héritiers de percevoir une redevance sur certaines reventes publiques de leurs œuvres. En 2021, les ministres du Patrimoine canadien et de l'Innovation, des Sciences et de l'Industrie ont été chargés de mettre en œuvre un tel droit au Canada dans leurs lettres de mandat.

Afin d’élaborer une politique nationale efficace, nous aimerions mieux comprendre le marché national des arts grâce au sondage dont le lien se trouve ci-dessous. Ce sondage demande aux personnes qui achètent, vendent ou créent des œuvres d'art de répondre à des questions sur leurs expériences sur le marché. Les données recueillies reflèteront votre expérience et vos interactions avec le marché de l'art canadien. Veuillez prendre 5 à 30 minutes pour répondre à l'enquête ci-dessous et partagez le lien avec vos réseaux sur les médias sociaux en vue d’accroître la participation.

https://pch.survey-sondage.ca/f/l/n89tcd?lang=FR


NOS SERVICES


Nous aidons les artistes à tirer un meilleur revenu de leurs oeuvres.
Nous aidons les utilisateurs à obtenir des licences plus rapidement.

Services aux artistes

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À PROPOS DE DROITS D’AUTEUR ARTS VISUELS


Droits d'auteur Arts visuels s'adapte à l'évolution de l'économie des arts à l'ère numérique en fournissant aux artistes visuels et médiatiques des outils efficaces pour les aider à développer leur carrière de façon durable.

Droits d'auteur Arts visuels facilite l'accès aux meilleures œuvres d'artistes canadiens et québécois grâce à un service d’octroi de licences simple et efficace en ligne ou de personne à personne.

Droits d’auteur Arts visuels représente près d'un millier d'artistes visuels et médiatiques. De plus en plus d'artistes deviennent membres de Droits d'auteur Arts visuels parce qu'ils comprennent que la meilleure façon d'augmenter le niveau de paiement des droits d'auteur pour l'utilisation de leurs œuvres est de se regrouper au sein d'une société de gestion de droits d'auteur.

DERNIÈRES NOUVELLES


  • 10
    nov.
    2021
    2021-11-10 00:00

    DIGITAL TOOLS FOR ARTISTS: Image Bank

    CARFAC is pleased to present a series of webinars where we share information about timely initiatives, including our long-term projects and campaigns as well as work that is being done in response to the COVID-19 pandemic.

    https://www.carfac.ca/tools/webinar-wednesdays/

    CARFAC a l’honneur de présenter une série de webinaires au cours desquels nous partagerons de l’information à propos d’initiatives opportunes, y compris nos projets et nos campagnes à long terme, ainsi que le travail réalisé en réponse à la pandémie de la COVID-19.

    https://www.carfac.ca/fr/outils-pour-les-artistes/les-webinaires-du-mercredi/

  • 13
    août
    2021
    2021-08-13 00:00

    La Cour suprême du Canada n’a pas sanctionné la libre copie par le secteur de l’éducation 30 juillet 2021

    Mis en ligne par Hélène Pappathomas

    TORONTO [30 juillet 2021] – Dans l’affaire opposant Access Copyright à l’Université York, il s’agissait de remédier au lourd préjudice économique continu subi par les créateurs et les éditeurs en raison de la copie systémique, systématique, à grande échelle de leurs œuvres sans rétribution par le secteur de l’éducation, selon leurs propres lignes directrices relatives à l’utilisation équitable.  

    Ce préjudice économique a été prouvé devant des tribunaux. La décision rendue aujourd’hui par la Cour suprême n’a pas réfuté cette conclusion. En fait, elle a refusé de valider les lignes directrices de York qui sont pratiquement identiques aux lignes directrices adoptées par la majorité du secteur de l’éducation hors du Québec.

    La décision d’aujourd’hui ne remet pas en cause le préjudice, elle refuse d’y remédier.

    Après près de dix ans de procédures judiciaires et de préjudices financiers au secteur de l’écriture, des arts visuels et de l’édition, les créateurs se retrouvent encore à lutter pour obtenir une rémunération juste en compensation de l’utilisation de leurs œuvres par les établissements d’enseignement.  

    Regrettablement, la décision de la Cour fait fi des licences collectives et du rôle de la Commission du droit d’auteur du Canada dans le maintien d’un marché opérant pour les œuvres de création.

    La conclusion de la Cour suprême, à savoir que le tarif n’est pas opposable, exacerbe la lutte des créateurs dans le marché actuel où le déséquilibre du pouvoir de négociation ne provient pas des créateurs ni de leurs sociétés de gestion collective, mais plutôt des grands établissements qui en toute impudence attisent l’incertitude du droit, poussent les exceptions à l’extrême et privent les créateurs de leur dû équitable. Cette décision marque le début d’un climat considérablement plus difficile pour les créateurs devant gérer et monétiser leurs œuvres dans un environnement de plus en plus axé sur le numérique.  

    Cette situation fait entrave à la création et à l’investissement dans les œuvres canadiennes qui témoignent de notre vécu et nos valeurs, au détriment de tous les Canadiens à commencer par nos étudiants.

    « Les créateurs et éditeurs canadiens passent un nombre incalculable d’heures à modeler et édifier les publications qui inspirent les étudiants. Les établissements d’enseignement devraient donner l’exemple par le respect du travail des autres sous forme de rémunération équitable aux créateurs, pour l’utilisation de leurs œuvres. Bien au contraire, ces établissements ont décidé de refuser de le faire depuis presque dix ans, » a dit Roanie Levy, présidente et chef de la direction d’Access Copyright.  « Personne ne sort gagnant de la décision de la Cour suprême : nous aurons tous moins de récits dans lesquels nous nous reconnaissons et qui relatent notre réalité commune. »

    La Cour suprême a particulièrement souligné aujourd’hui « Il est bien entendu loisible au législateur de modifier la Loi sur le droit d’auteur  s’il le juge opportun pour faciliter l’introduction d’actions en violation du droit d’auteur par les sociétés de gestion. » Au nom des créateurs et des éditeurs du Canada, nous demandons au gouvernement fédéral d’appuyer la communauté créative et de rectifier la situation intenable dans laquelle se trouvent les créateurs en raison de la décision de la Cour.

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    À propos d’Access Copyright

    Depuis plus de 30 ans, Access Copyright facilite l’utilisation de contenu à des fins éducatives et professionnelles. Access Copyright aide les gens à faire un usage personnalisé d’ouvrages publiés, tout en sauvegardant l’assurance que les créateurs et les éditeurs d’origine en bénéficient et continuent ainsi à créer de nouvelles œuvres novatrices. C’est d’une importance capitale pour préserver une culture canadienne robuste et pour tous ceux qui comptent sur des publications de qualité.  

    Pour des questions de presse en général :

    Robert Gilbert, Spécialiste des communications et Relations avec les affiliés, [email protected]

    OTHER ANNONCES
    Canadian creators and publishers call for fair copyright law on World Book and Copyright Day
    Important Information about Royalties and T5s for Access Copyright Affiliates
    IMPRIMO: Blockchain-powered digital passport for visual artists takes next step forward
    Access Copyright Extending Read Aloud Canadian Books Program
    Decade-long struggle to get paid continues for Canadian creators as York litigation heads to the Supreme Court of Canada

  • 30
    juil.
    2021
    2021-07-30 00:00

    Supreme Court of Canada refuses to legitimize uncompensated copying by the education sector Friday, July 30, 2021

    Friday, July 30, 2021 -

    TORONTO [July 30, 2021] – Access Copyright’s case against York University was about remedying the significant and sustained economic harm to creators and publishers caused by the mass, systemic and systematic copying of their works without compensation by the education sector under self-defined fair dealing guidelines.

    This economic harm was proven in court. Today’s Supreme Court decision did nothing to undermine that conclusion. Indeed, it declined to endorse York’s guidelines, which are virtually identical to the guidelines adopted by most of the education sector outside of Quebec.

    While today’s decision does not dispute the harm, it declines to remedy it.

    After almost 10 years of litigation and economic harm to the writing, visual arts and publishing sector, creators are still left fighting for fair compensation for the use of their works by educational institutions.

    Disappointingly, the Court’s decision undermines collective licensing as well as the role of the Copyright Board of Canada in upholding a functioning market for creative works.

    The Supreme Court’s finding that tariffs are not enforceable exacerbates the struggles of creators in today’s marketplace where the imbalance in bargaining power does not lie with creators and their collectives, but with large institutions that brazenly abuse uncertainty in the law, push exceptions to the extreme and deprive creators of their just reward. This decision marks the beginning of a significantly more challenging environment for creators to manage and monetize their works in an increasingly digital environment.

    This threatens investment in and creation of Canadian works that reflect our lived experiences and values to the detriment of all Canadians, starting with our students.

    “Canadian creators and publishers spend countless hours shaping and building the published material that inspire students. Educational institutions should be setting an example by respecting the work of others by fairly compensating creators for the use of their work. Instead, they have chosen to refuse to do so for almost a decade now,” said Roanie Levy, Access Copyright’s President & CEO. “There are no winners with today’s Supreme Court decision: we will all have fewer stories that speak directly to us as Canadians and chronicle our shared reality.”

    The Supreme Court specifically said today that it is “open to Parliament to amend the Copyright Act if and when it sees fit to make collective infringement actions more readily available.” On behalf of Canadian creators and publishers, we call on the federal government to support the creative community and remedy the untenable situation in which creators find themselves as a result of the Court’s decision.

    -30-

    About Access Copyright

    For over 30 years, Access Copyright has facilitated content use for educational and professional purposes. Access Copyright has helped people make customized use of published materials combined with an assurance that the original creators and publishers also benefit, so that they can continue creating new and innovative works. This is vitally important to a strong Canadian culture and to all who rely on quality publications.

    For general media inquiries:

    Robert Gilbert, Communications Specialist and Affiliate Relations, [email protected]